En 2022, une nouvelle fois, nous faisons le pari d’ouvrir et de partager la culture différemment, au plus près de chacun·e ? Au programme : spectacles, conférence, exposition, atelier…
Vous reprendrez bien un peu de rêve ?
Du 29 au 31 mars - Spectacle/Danse : Vivace - Alban Richard
Collection tout-terrain du centre chorégraphique national de Caen en Normandie.
À l’image du répertoire d’Alban Richard, vivace (“avec entrain” en italien) repose sur un rapport étroit à la musique. Envahies par le rythme et la pulsion, les danseuses deviennent les corps vivaces d’un nouveau genre, tout en vitalité, acharnement et persistance. Co-accueil L’étincelle, théâtre(s) de la ville de Rouen
Financé par la CVEC
Mercredi 30 mars - Cinéma - CinéCampus : Visages Villages
Agnès Varda et JR partagent la même passion de l’image et de son questionnement. En 2015, ils se rencontrent et ont aussitôt envie de travailler ensemble, de tourner un film loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR.
Jeudi 31 Mars - Conférence : Joseph Chauffray - La permaculture
La permaculture est une philosophie tout autant qu’une méthode de conception. Mais comment la mettre en œuvre dans son jardin ? En quoi la permaculture peut-elle aider à créer des jardins durables, productifs, esthétiques et résilients ? En quoi se distingue-t-elle du jardinage biologique et du bon sens paysan de nos grands-parents ?
Vendredi 1er avril - Concert : Solo collectif - Lior Shoov
Lior Shoov ne fait pas de concerts ni de démonstrations. Elle propose des instants de partage avec le public, où, sur le fil, elle culture son goût du risque et puise dans son intimité pour délivrer une chose artistique unique et insaisissable. Seule en scène, avec sa voix, quelques instruments et dispositifs, elle explore la matière entre chant, discussion et improvisation. Et le temps se suspens…
Du 28 mars au 1er avril - Exposition : La traversée
Des étudiants de l’ENSAN se sont réunis pour la conception d’une installation, dans le cadre d’un TD d’arts plastiques « In Situ ». Du sujet de la fenêtre n’ont été gardés que ses jeux de transparences, de réflexions et d’ombres pour aboutir finalement à la chute d’un banc de poissons dans une étendue d’eau, placé dans une boîte noire afin de créer un cocon. Le rendu poétique d’un banc de poissons plongeant vers une fenêtre onirique peut aussi être lu comme des poissons de plastique qui plongent dans une eau noire semblable au pétrole.
Date de publication : 23/03/22